Enquête à Trans en Provence en1991 dix ans après les faits.
Enquête à Trans en Provence le 10 août 1991 dix ans après les faits.
Par Adama
Ci-dessus croquis des lieux et reconstitution de l'observation par le GEPAN en 1981.
Le 8 janvier 1981, vers 17H00, Renato Nicolaï, un maçon retraité est témoin d'une observation OVNI, qui sera enquêté par le GEPAN, avec le concours de la Gendarmerie Nationale et, pour la première fois, un scientifique de l'INRA, le Professeur Michel Bounias pourra effectuer des analyses sur place.
Dix ans après, je me rends en compagnie de l'ufologue Daniel Rieul le 12 Août 1991 à 14h30, à Trans en Provence, rencontrer monsieur Renato Nicolaï, après avoir pris rendez-vous avec lui la veille par téléphone. Nous trouvons rapidement la maison lieu de la manifestation du phénomène, et Monsieur Renato Nicolaï nous reçoit très gentiment. L'impression qu'il nous donne est celle d'un homme honnête, et qui est encore interrogatif devant ce qu'il a vu, et n'a pas de réponse à cela.
Il nous explique, sans papier, et avec une fraîcheur étonnante comme si c'était arrivé hier, ce qu'il a vu a marqué visiblement monsieur Nicolaï, qu'il vaquait à une occupation de maçonnerie sur un petit muret dans son jardin. Quand il entend un sifflement, comme dit-il, lorsque l'on roule en voiture avec la fenêtre entrouverte. Son attention est attirée par ce bruit, et il voit alors tomber du ciel un engin qui ressemble à deux assiettes collées l'une contre l'autre, bord à bord. L'objet est pour lui métallique, il s'agit de quelque chose de matériel, de couleur sombre ressemblant à un métal. Il possède une nervure sur sa circonférence. Monsieur Nicolaï observe cet objet stupéfait.
L'objet tombe dans sa propriété, dans un terrain derrière le jardin, il ripe au sol avant de s'immobiliser. Et il repars aussitôt, en émettant encore ce sifflement. Il aperçoit sous « l'engin » quatre pieds, ou quatre hublots, il n'est pas certain nous dit-il s'il s'agissait de pieds ou de hublots, voir de réacteurs.
L'OVNI mesure 1,80 environ de diamètre nous dit-il, peut-être un peu plus, ou un peu moins, il est difficile de le dire avec précision.
Il nous emmène vers le lieu où l'objet s'est immobilisé avant de repartir. Nous constatons dix ans après la présence d'un cercle, où l'herbe à du mal à repousser. Nous prélevons un échantillons de terre à l'intérieur du cercle. Et je prends quelques photos du lieu, avec un appareil Canon 1000 F. Au développement, le « cercle » est parfaitement visible. De nos jours, l'herbe à toujours du mal à repousser mais le « cercle » s'est considérablement érodé. En 1991, il était encore bien visible, trace d'une chose inconnue.
A l'époque 10 ans après les faits, nous n'avons pas constaté de passage de camions ou de voitures à cet endroit. Et nous pensons que la trace en question n'a aucun rapport avec une trace de pneumatique. Surtout 10 ans après ! Le cercle semblait bien porter les traces de la présence de cet objet.
Nous avons été impressionné par la mémoire très vive du témoin face à cet événement, et qui démontre que le phénomène a bel et bien imprégné la mémoire du témoin.
Pour nous, l'affaire de Trans en Provence était bien réelle, sortait du cadre « livresque » et « médiatique » par ce contact direct avec le témoin.
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